Ciana Stagon (FREN 322) partage cette chanson d’Aya Nakamura. Elle nous explique :
« Nakamura exprime une franchise sans effort mais ferme avec ses paroles, une franchise qui est clairement reflétée dans sa musique. « Djadja » a été un méga succès en France et au monde entier. La chanson est reconnue comme un hymne pour mouvement pour les droits des femmes. Son image a été utilisée sur des affiches lors de manifestations françaises contre la violence faite aux femmes. »
Notre Séminaire d’études francophones (FREN 322) se concentre sur les histoires changeantes, la pluralité des idées et la diversité du monde francophone. « The refugees feeding a nation » —un film de Daisy Walsh, Tommy Chavannes et Jilla Dastmalchi—suit la migration des familles Hmong du Laos à la Guyane, et leurs contributions à l’économie guyanienne.
Description: After the Vietnam War, France relocated a small group of 45 Hmong refugees from Laos to its overseas territory in South America, called French Guiana.
The Hmong people were fleeing persecution from [Vietnamese] Communists, because they had been long-time allies of France and had fought alongside US forces.
Forty years later, French Guiana is now heavily reliant on the food that these refugees and their descendants grow in farms deep in the Amazon jungle. It’s said they are a true immigration success story, but this happy ending was not always guaranteed.
The LCS-Speaker Series: Conversations on Social Justice at the University at Albany (SUNY) presents a screening of Madan Sara and a discussion with the director and filmmaker Etant Dupain, on Thursday, April 22 at 1:00pm (EST).[See trailer above. Register in advance for this event here.]
Description: The women known as Madan Sara in Haiti work tirelessly to buy, distribute, and sell food and other essentials in markets through the country. The Madan Sara documentary tells the stories of these indefatigable women who work at the margins to make Haiti’s economy run. This film amplifies the calls of the Madan Sara as they speak directly to society to share their dreams for a more just Haiti.
Une leçon (en trois minutes) sur Napoléon Bonaparte et l’esclavage, partagée par la Fondation pour la mémoire de l’esclavage. Cette vidéo est importante dans le cadre de nos discussions de Rosalie l’infâme (E. Trouillot) et Le Royaume de ce monde (A. Carpentier).
Romancier martiniquais et professeur à l’université des Antilles, Raphaël Confiant est aussi—et surtout—un militant de la langue et de la cause créoles, depuis au moins trois décennies. Pour Culture Prime, il revient sur l’origine du concept-manifeste de créolité.
En 1989, Jean Bernabé, linguiste, Patrick Chamoiseau et Raphaël Confiant, romanciers, sont invités au même festival. Ils préparent un texte commun. Intitulé « Éloge de la Créolité », publié ensuite par Gallimard, ce manifeste est aujourd’hui traduit dans une quinzaine de langues : « Ni Européens, ni Africains, ni Asiatiques, nous nous proclamons Créoles. Cela sera pour nous une attitude intérieure, mieux une vigilance, ou mieux encore une sorte d’enveloppe mentale au mitan de laquelle se bâtira notre monde, en pleine conscience du monde. »
Pour animer un peu plus nos discussions sur le Discours sur le colonialisme… et les stratégies rhétoriques, voici un clip (2 :20 minutes) « À mon tour de poser une équation, colonisation=chosification… »
Le rappeur parisien H Magnum (Guy-Hervé Imboua) est né à Abidjan, Côte d’Ivoire. Il a passé son enfance, entre 8 et 12 ans, entre la Côte d’Ivoire et la France. Installé définitivement à Paris, il commence à chanter du hip-hop à l’âge de 15 ans. Il est connu pour sa voix singulière et aussi pour ses collaborations avec le groupe Sexion d’Assaut.
Je contemple les avions par la fenêtre Barreaudée, moi qui veux m’évader Je n’ai jamais eu envie de me soumettre à ces êtres aux idées érodées Je veux pouvoir voir d’autres jours naître La ligne de ma main me le dira peut-être Je dois suivre le phare car mon âme est maître Mais j’ai peur de toucher le fond juste à quelques mètres
Et je n’ai pas envie de partir Même s’il n’y a rien pour me retenir Je n’ai pas envie de souffrir J’ai pris un aller simple charter Pour ne plus revenir
Kif’n’dir, kif’n’dir, kif’n’dir, kif’n’dir Shkite l’bereh fe lil ana Kif’n’dir, kif’n’dir
Je porte ce masque pour ressembler aux autres Un garçon manqué, une fille pas comme les autres Je m’attends au pire et je supporte J’en ai marre de faire semblant que je suis forte Donc je fais la morte, pour ne pas mourir Faut que je m’en sorte pour fermer ce chapitre Algérie même s’il y a de la poussière sur ce thème Sache que malgré tout je t’aime
Et je n’ai pas envie de partir Même s’il n’y a rien pour me retenir Je n’ai pas envie de souffrir J’ai pris un aller simple charter J’promets de revenir
Kif’n’dir, kif’n’dir, kif’n’dir, kif’n’dir Shkite l bereh f lile ana Kif’n’dir, kif’n’dir Kif’n’dir, kif’n’dir Kif’n’dir, kif’n’dir (continue…)
Kif’n’dir, kif’n’dir (Pleure pas Algérie) Kif’n’dir, kif’n’dir (Moi non plus je ne pleure pas) Shkite l bereh f lile ana (Pleure pas Algérie) Kif’n’dir, kif’n’dir (Moi non plus je ne pleure pas)
Kif’n’dir, kif’n’dir (Pleure pas Algérie) Kif’n’dir, kif’n’dir (Moi non plus je ne pleure pas) Shkite l bereh f lile ana (Pleure pas Algérie) Kif’n’dir, kif’n’dir (Moi non plus je ne pleure pas)
Better known as Zaho, Zahera Darabid is an Algerian-Canadian singer. Born in Algiers, she moved to Canada with her family when she was 18 years old.
Mohamed Sylla, better known as MHD, is a French rapper from Paris, whose parents hail from Senegal and the Republic of Guinea. Mixing trap with West African music, he coined the term Afro-Trap.
Il ou elle a dit les nouvelles ne sont pas bonnes Je ne le dirai qu’à toi, ne le dis à personne Il ou elle a fait je crois qu’il y’a eu maldonne Ça m’étonnerait vraiment que quelqu’un lui pardonne J’entends des bruits de couloir au loin qui résonnent Que ce soit vrai ou faux tout le monde en fait des tonnes Ici l’ami de tout le monde est l’ami de personne Laissez-moi dans mon coin ici l’ambiance est bonne
Non tu n’as pas idée C’est chaud Pourquoi verbaliser C’est chaud L’ambiance est validée C’est chaud Le terrain balisé C’est chaud Laisse les parler Demain on aura zappé
Qu’est-ce que tu me parles de ma vie, tu sais nada T’es de ces personnes qui mythonent grave C’est vrai t’es gentil mais t’es pas fiable Encore plus faux que le mec qui n’a pas de défauts Un tel et un tel sont ensemble mais c’est vrai C’est le mytho du coin qui raconte ça Il a gagné au loto et zappé la mif Quand les bonnasses approchent Les jaloux bavent Tu l’as quitté d’après ce que tu racontes Elle t’a quitté d’après ce qu’elle raconte Chacun sa raison Tout le monde parle Mais chacun sa version Laisse-les croire Laisse-les jacqueter T’es pas l’hypocrisie On gravit les paliers Éloigne moi des soucis j’suis fatigué J’ai pas leur temps Je veux m’enjailler
Non tu n’as pas idée C’est chaud Pourquoi verbaliser C’est chaud L’ambiance est validée C’est chaud Le terrain balisé C’est chaud Laisse les parler Demain on aura zappé
J’ai les oreilles qui sifflent Carton rouge J’ai les oreilles qui sifflent Carton rouge J’ai les oreilles qui sifflent Carton rouge J’ai les oreilles qui sifflent (Tout le monde bouge!)
Non tu n’as pas idée C’est chaud Pourquoi verbaliser C’est chaud L’ambiance est validée C’est chaud Le terrain balisé C’est chaud Laisse les parler Demain on aura zappé