“Tut tut tut tut” Gillian Hills

Many thanks to Jessica Polito for her contribution to Alors, on dance! with “Tut tut tut tut” by Gillian Hills. As Jessica points out, this song has made a comeback with the 2020 series The Queen’s Gambit. [Note: “Tut tut tut tut” is the French version of “Busy Signal” by the U.S. group The Lollipops.]

Born in Egypt, English actress and singer Gillian Hills became known for her role in Blowup (1966) directed by Michelangelo Antonioni (one of my favorite Italian filmmakers). As a young actress, by the time she was 16, she had embarked on an acting and singing career in France, and was featured in an important role in Edmond T. Gréville’s Beat Girl (a 1960 film marketed in the U.S. as Wild for Kicks).

Related to our FREN 305 class, in sharing this song by Gillian Hills, Jessica reminded me of the most controversial film adaptation (or reinterpretation) of Laclos’ novel Les Liaisons dangereuses (1782)—the eponymous 1959 film was directed by Roger Vadim and starred my favorite French actress, Jeanne Moreau. The film’s soundtrack is exceptional, with music by (more of my favorites) jazz greats Thelonious Monk and Art Blakey among others. [Now, I regret not adding this one to our course list, even though Caryn James (The New York Times) underlined its “superficial silliness” (I don’t agree!)] Also related to our class discussions about women’s roles in French film, note that Gillian Hills was meant to play a lead role in Vadim’s film, but she was only 14, so she was cast in a minor role. Instead, they chose Jeanne Valérie (a whopping 18 years old) as Cécile Volanges… Needless to say, scandal and censorship surrounded Vadim’s 1959 Les Liaisons dangereuses.

For more on adaptations of Les Liaisons dangereuses, see https://www.nytimes.com/1989/11/26/movies/four-liaisons-but-only-one-is-dangereuse.html

H Magnum (ft. Lefa) « Petit Matin »

J’ai pas oublié (J’ai pas oublié) tout le chemin qu’on a fait
J’ai pas oublié (J’ai pas oublié) tout le mal que tu m’as fait
J’ai pardonné (Hehey) mais c’est resté dans ma tête
Au petit matin, j’ai ramassé mes affaires

Au petit matin, au petit matin m’attends pas
Au petit matin, j’serai plus là, ne m’attends pas
J’ai pardonné (Hehey) mais c’est resté dans ma tête
Au petit matin, j’serai plus là, ne m’attends pas

Dis pas qu’j’suis sans cœur (Dis pas qu’j’suis sans cœur), j’te l’ai ouvert, tu l’as cassé (Mhmm)
Tu m’parles du futur (Tu m’parles du futur) mais j’suis pas d’accord sur le passé (Mhmm)
Ça sera plus jamais comme avant, on s’est bien trop menacé
Tellement de rancœur (Tellement de rancœur), j’arrive plus à t’enlacer

Au petit matin, au petit matin m’attends pas
Au petit matin, j’serai plus là, ne m’attends pas
Mon silence n’est pas un oublie, j’ai plus la force de parler (Ah)
J’n’ai pas dormi de la nuit, au petit matin j’me suis barré

J’ai pas oublié (J’ai pas oublié) tout le chemin qu’on a fait
J’ai pas oublié (J’ai pas oublié) tout le mal que tu m’as fait
J’ai pardonné (Hehey) mais c’est resté dans ma tête
Au petit matin, j’ai ramassé mes affaires

Au petit matin, au petit matin, m’attends pas
Au petit matin, j’serai plus là, ne m’attends pas
J’ai pardonné (Heey) mais c’est resté dans ma tête
Au petit matin, j’serai plus là, ne m’attends pas

Je sais qu’je supporterai pas d’te voir dans les bras d’un autre mais bon tant pis
J’préfère rester sur les bons souvenirs et partir avant que les choses empires (Ouais)
On s’était juré d’faire des efforts l’un pour l’autre mais le temps nous a fait mentir (Han)
On s’était juré de faire toute la route ensemble, on a même pas fait la moitié
Et tu vas m’manquer, j’dois l’avouer mais vaut mieux qu’chacun prenne sa voie
Et je pars le cœur balafré mais bien plus léger à la fois
Et si j’devais tout recommencer, j’aurais fuis dès l’premier soir
Et si j’devais tout recommencer, j’aurais fait semblant d’pas te voir
(Ouais j’aurais fait semblant d’pas te voir)

J’ai pas oublié (J’ai pas oublié) tout le chemin qu’on a fait
J’ai pas oublié (J’ai pas oublié) tout le mal que tu m’as fait
J’ai pardonné (Hehey) mais c’est resté dans ma tête
Au petit matin, j’ai ramassé mes affaires Au petit matin, au petit matin, m’attends pas
Au petit matin, j’serai plus là, ne m’attends pas

“Quelqu’un m’a dit” Carla Bruni

“Quelqu’un m’a dit” by Carla Bruni, former first lady of France.

On me dit que nos vies ne valent pas grand chose
Elles passent en un instant comme fanent les roses
On me dit que le temps qui glisse est un salaud
Que de nos chagrins il s’en fait des manteaux
Pourtant quelqu’un m’a dit

Que tu m’aimais encore
C’est quelqu’un qui m’a dit que tu m’aimais encore
Serait-ce possible alors ?

On me dit que le destin se moque bien de nous
Qu’il ne nous donne rien et qu’il nous promet tout
Paraît que le bonheur est à portée de main
Alors on tend la main et on se retrouve fou
Pourtant quelqu’un m’a dit

Que tu m’aimais encore
C’est quelqu’un qui m’a dit que tu m’aimais encore
Serait-ce possible alors ?
Serait-ce possible alors ?

Mais qui est-ce qui m’a dit que toujours tu m’aimais ?
Je ne me souviens plus c’était tard dans la nuit
J’entends encore la voix, mais je ne vois plus les traits
Il vous aime, c’est secret, lui dites pas que je vous l’ai dit
Tu vois quelqu’un m’a dit

Que tu m’aimais encore
Me l’a-t-on vraiment dit ?
Que tu m’aimais encore
Serait-ce possible alors ?

On me dit que nos vies ne valent pas grand chose
Elles passent en un instant comme fanent les roses
On me dit que le temps qui glisse est un salaud
Que de nos tristesses il s’en fait des manteaux
Pourtant quelqu’un m’a dit

Que tu m’aimais encore
C’est quelqu’un qui m’a dit que tu m’aimais encore
Serait-ce possible alors ?

“Sous le ciel de Paris” (Yves Montand, Edith Piaf)

Kaitlyn Wiehe writes, “This song, I think, is a great representation of heritage film and what it means for France. Montand sings about the love between the sky and city, how it sees all the things that happen there and how they may make him weep with rain or the sun shine with joy. It’s about the community and the love there, through the centuries.”

I agree with Kaitlyn that these lyrics capture the “feel” and attitude that we have underlined in our discussions of heritage film! As we mentioned in our previous post, featuring Zaz & Pablo Alborán singing this song, it was written by Jean Dréjac and Hubert Giraud for Julien Duvivier’s 1951 film “Sous le ciel de Paris.” In the film, the song was performed by Jean Bretonnière. It was subsequently recorded and performed by Anny Gould, Juliette Gréco, Édith Piaf, and Yves Montand, becoming a symbol of Paris. I take the liberty of adding the audio of the inimitable Piaf singing the same song (see lyrics below). IR

Sous le ciel de Paris
S’envole une chanson, Hum Hum
Elle est née d’aujourd’hui
Dans le cœur d’un garçon
Sous le ciel de Paris
Marchent des amoureux, Hum Hum
Leur bonheur se construit
Sur un air fait pour eux

Sous le pont de Bercy
Un philosophe assis
Deux musiciens quelques badauds
Puis les gens par milliers

Sous le ciel de Paris
Jusqu’au soir vont chanter, Hum Hum
L’hymne d’un peuple épris
De sa vieille cité

Près de Notre Dame
Parfois couve un drame
Oui mais à Paname
Tout peut s’arranger
Quelques rayons
Du ciel d’été
L’accordéon d’un marinier
L’espoir fleurit
Au ciel de Paris

Sous le ciel de Paris
Coule un fleuve joyeux, Hum Hum
Il endort dans la nuit
Les clochards et les gueux

Sous le ciel de Paris
Les oiseaux du Bon Dieu, Hum Hum
Viennent du monde entier
Pour bavarder entre eux

Et le ciel de Paris
A son secret pour lui
Depuis vingt siècles il est épris
De notre Ile Saint Louis

Quand elle lui sourit
Il met son habit bleu, Hum Hum
Quand il pleut sur Paris
C’est qu’il est malheureux

Quand il est trop jaloux
De ses millions d’amants, Hum Hum
Il fait gronder sur nous
Son tonnerre éclatant

Mais le ciel de Paris
N’est pas longtemps cruel, Hum Hum
Pour se faire pardonner
Il offre un arc en ciel

OrelSan “Basique”

The song of the day— “Basique” by OrelSan (Aurélien Cotentin)—comes to you thanks to Jessica Polito!

“Basique”

Ok, j’vais demander à Skread de faire une instru simple
Parce que je vais dire des trucs simples
Parce que vous êtes trop cons
Ok, simple, basique, basique

Ok, les gens les plus intelligents sont pas toujours ceux qui parlent le mieux (simple)
Les hommes politiques doivent mentir sinon tu voterais pas pour eux (basique)
Si tu dis souvent qu’t’as pas d’problème avec l’alcool, c’est qu’t’en as un (simple)
Faut pas faire un enfant avec les personnes que tu connais pas bien (basique)
Les mecs du FN ont la même tête que les méchants dans les films (simple)
Entre avoir des principes et être un sale con, la ligne est très fine (basique)
Hugo Boss habillait des Nazis, le style a son importance (simple)
Les dauphins sont des violeurs, ouais, méfie-toi des apparences (basique)

Basique, simple, simple, basique
Basique, simple, simple, basique
Vous n’avez pas les bases, vous n’avez pas les bases
Vous n’avez pas les bases, vous n’avez pas les bases

Si c’est marqué sur internet, c’est p’t-être faux mais c’est p’t-être vrai (simple)
Illuminati ou pas, qu’est-ce que ça change ? Tu t’fais baiser (basique)
À l’étranger, t’es un étranger, ça sert à rien d’être raciste (simple)
Les mecs les plus fous sont souvent les mecs les plus tristes (basique)
Cent personnes possèdent la moitié des richesses du globe (simple)
Tu s’ras toujours à un ou deux numéros d’avoir le quinté dans l’ordre (basique)
Si t’es souvent seul avec tes problèmes, c’est parce que souvent l’problème c’est toi (simple)
Toutes les générations disent que celle d’après fait n’importe quoi (cliché)

Basique, simple, simple, basique (rep.)
Vous n’avez pas les bases (rep.)
Basique, simple, vous n’avez pas les bases (rep.

Basique, simple, simple, basique (rep.)
Basique, simple, simple, vous n’avez pas les bases.

Amir “La fête”

Amir (Laurent Amir Khalifa Khedider Haddad, né à Paris, est un compositeur-interprète franco-israélien. [Clip realisé par Rubens Hazon et Théo Gottlieb.]

“La fête”

Levons nos verres sans raison
Il suffit de vivre, c’est bon
Mais c’est meilleur et c’est moins long avec un peu d’ivresse
Viens, on se casse la voix
Viens, on se casse là-bas
Là où l’amour est toujours roi
S’inventer des princesses

Le patron te fait la misère
C’est rien
T’as le moral sur une civière
C’est rien
T’es encore fatiguée d’hier
C’est rien
On réfléchira demain

Tant pis pour l’cœur à moitié vide
Tant que des potes, on en a plein

On est tous nés pour faire la fête
Comme si on l’avait jamais faite
La fête
On est tous nés pour faire la fête
Au pire, on la fait dans nos têtes
Comme si on l’avait jamais faite

La nuit est notre maison
Tu peux t’inviter sans raison
Sois à l’aise comme dans ton salon
Viens meubler ta tristesse
Viens, on s’la joue, on s’pavane
On s’prend pour les lions d’la Savane
On est les rois de la Havane
Havana, oh, na na

Ton histoire d’amour bat de l’aile
C’est rien
Dans ton café, t’as mis du sel
C’est rien
T’es trop petit pour toucher le ciel
C’est rien
Parce qu’on grandira demain

Tant pis si on tombe dans le vide
Tant qu’on a l’verre à moitié plein

On est tous nés pour faire la fête… (etc.)

On a presque plus rien à boire
Mais on est là
Le bar va fermer tout est noir
Mais on est là
On continue sur le trottoir
Mais on est là
Hey, on est là, on est là

On va encore rentrer trop tard
Mais on est là
Je crois que j’ai un œil au beurre noir
Mais on est là
J’ai encore cassé ma guitare
Je m’appelle Jimi Hendrix ce soir

On est tous nés pour faire la fête… (etc.)

« Dernier métro » Kendji Girac & Gims

« Dernier métro » de Kendji Girac en duo avec Gims. [Vidéo realisée par Alexandre Moors.]

J’ai bien compris l’poids des mots, à chacun son fardeau
Je ne regarderai plus derrière moi, si il le faut, je roulerais sans rétro
Mais le temps a tout effacé, avec le temps tout s’en va
J’aimerais te parler de ces choses qui s’en vont et ne reviennent pas

Décidément, c’est pas si facile, j’ai dû mettre de côté mon ego
Tout ça, résonnait comme un écho sur le quai du métro
Décidément, c’est pas si facile, j’ai dû mettre de côté mon ego
Tout ça, résonnait comme un écho sur le quai du métro

Je vois les gens, ont-ils remarqué?
Là, sur le banc, nul part où aller
Dans la spirale qui m’emporte, j’voudrais m’envoler (j’voudrais m’envoler)
Et puis, la vie vient et balaye les souvenirs de notre enfance
Quand j’étais gosse, moi, j’pensais que rien n’avait d’importance

Décidément, c’est pas si facile, j’ai dû mettre de côté mon ego
Tout ça, résonnait comme un écho sur le quai du métro
Décidément, c’est pas si facile, j’ai dû mettre de côté mon ego
Tout ça, résonnait comme un écho sur le quai du métro

La la la la la la la la la

Rouler sans rétro
Repartir à zéro
À chacun son fardeau
Ferme les yeux sur mes défauts
Rouler sans rétro
Repartir à zéro
À chacun son fardeau
Ferme les yeux sur mes défauts

Décidément, c’est pas si facile, j’ai dû mettre de côté mon ego
Tout ça, résonnait comme un écho sur le quai du métro
Décidément, c’est pas si facile, j’ai dû mettre de côté mon ego
Tout ça, résonnait comme un écho sur le quai du métro
Décidément, c’est pas si facile, j’ai dû mettre de côté mon ego
Tout ça, résonnait comme un écho sur le quai du métro
Décidément, c’est pas si facile, j’ai dû mettre de côté mon ego
Tout ça, résonnait comme un écho sur le quai du métro

La la la la la la la la la…

Rouler sans rétro
Repartir à zéro
À chacun son fardeau
Ferme les yeux sur mes défauts
Rouler sans rétro
Repartir à zéro
À chacun son fardeau
Ferme les yeux sur mes défauts

“Alor alors” Bigflo & Oli

Bigflo & Oli is a French hip-hop, singer-songwriter duo from Toulouse. The two brothers, Bigflo (Florian Ordóñez) and Oli (Olivio Laurentino Ordóñez), started rapping when they were very young. They are the youngest rappers (then aged 22 and 19) to have received a gold record in France for their first album, La Cour des grands, in 2015. Their interest in world cultures began with their parents—their father is from Argentina and their mother is French with Algerian roots. In the video we see them traveling around the world, with views of Tokyo, Japan; New York, USA; and Dakar, Senegal. They said that the song was written for a friend who suddenly disappeared from their lives:

“On a écrit cette chanson pour un ami a nous qui a disparu du jour au lendemain… On est parti faire le tour de la terre au sens propre en une semaine pour tourner ce clip! On était morts de fatigue mais ça valait le coup !”

[We wrote this song for a friend of ours who disappeared overnight … We went around the world literally in a week to shoot this clip! We were dead tired but it was worth it!]

“Alor alors” (written by Clément Libes, Florian Ordóñez, & Olivio Laurentino Ordóñez)

Le numéro que vous avez demandé n’est pas attribué ou n’est pas accessible
Votre appel ne peut aboutir
Pfff, putain

Alors alors
Dis-moi qu’t’es resté avec elle
Tu m’disais : “C’est la bonne et bordel, qu’elle est belle”
On refaisait le monde, sur le canap’ de l’appart
Maintenant j’voudrais savoir où tu te caches sur la carte
Alors alors
On s’est promis de pas s’lâcher, alors alors, et je crois bien qu’on s’est raté
T’as changé de numéro ou t’avais pas envie de me parler quand je t’ai appelé, hein?
Alors alors
Est-ce que t’as fini tes études? T’avais plein d’rêves, mais juste pas assez d’thune
J’ai une liste de tout c’que j’voudrais dire
Toi qui répondais présent quand on parlait d’avenir
Alors alors
On devait faire le tour de la Terre
Tu sais, moi, ma valise est encore prête
Et si jamais tu nous reviens, est-ce que j’vais te reconnaître?
Faut pas qu’on laisse mourir nos promesses (non)
Alors alors
T’es où? Tu mens
C’est fou! J’y pense
Chaque jour, j’te vois partout!
Ils disent que tu reviendras pas, que t’es malade, que t’es mort
J’aimerais que tu sois là, juste pour leur donner tort

Alors, dis moi qu’est ce qu’tu deviens?
C’est vrai, ça fait longtemps
Alors, dis moi qu’est ce qu’tu deviens?
C’est vrai, ça fait longtemps, qu’tu dis rien
J’ai cherché dans le quartier mais non, non
J’ai fait le tour de la Terre mais non, non
J’ai demandé à ta mère mais non, non
Pas d’nouvelles (pas d’nouvelles)
J’ai attendu tout l’été mais non, non
J’ai espéré tout l’hiver mais non, non
Mais comme dit le proverbe, (ah!)
Bonne nouvelle

Alors alors
T’es parti, chercher ton Eldorado?
Tout le monde t’adore-adore
On s’kiffait à mort, amore
T’es peut-être à Bora-Bora, en maillot ou en tongs
Si c’est une de tes blagues, celle là elle est trop longue
Alors Alors, comment c’est ailleurs?
J’attends un SMS ou un pigeon voyageur
Y’a encore nos tags sur le banc, lisibles et entiers
Faut qu’tu vois comme la ville a changée
Alors alors
Tu sais que je suis un peu râleur
T’as toujours eu du retard, t’étais jamais à l’heure-à l’heure
Allô allô? Y’a comme une latence
C’est plus que du retard là, c’est une absence
Alors alors
Des nouvelles? Même si elle sont mauvaises
J’ai fait tous les hôpitaux, appelé tous les hôtels
Si t’en as marre, dis le moi en face, cash!
Tu sais, j’ai passé l’âge de jouer à cache cache
Alors alors
Faut qu’tu sortes de ta planque
On suffoque dans la pente
On supporte plus l’attente
J’en ai marre, t’as tellement le dénouement
Est-ce que ça t’plait, de savoir que tu nous manques?

Alors, dis moi qu’est-ce tu deviens?
C’est vrai, ça fait longtemps
Alors, dis moi qu’est-ce tu deviens?
C’est vrai, ça fait longtemps, qu’tu dis rien
J’ai cherché dans le quartier mais non, non
J’ai fait le tour de la Terre mais non, non
J’ai demandé à ta mère mais non, non
Pas d’nouvelles (d’nouvelles)
J’ai attendu tout l’été mais non, non
J’ai espéré tout l’hiver mais non, non
Mais comme dit le proverbe (ah!)
Bonne nouvelle

Alors, alors, alors, alors
Alors, alors, alors, alors (tu nous manques frérot)
Alors, alors, alors, alors (Ouais, on a cherché partout!)
Alors, alors, alors, alors (ça fait longtemps)

Alors, dis moi qu’est ce qu’tu deviens?
C’est vrai, ça fait longtemps
Alors, dis moi qu’est ce qu’tu deviens?
C’est vrai, ça fait longtemps, qu’tu dis rien

“Porto-Vecchio” Julien Doré

Here is “Porto-Vecchio,” written by French musician, singer-songwriter, and actor Julien Doré. [Music video directed by Brice VDH and Julien Doré.]

La lumière est divine sur le Porto-Vecchio
Les nuages et le spleen ont tatoué ma peau
Je ne pars, je nage dans le murmure des vagues
Mais j’ai laissé ton nom et mon cœur sur la plage
Ah, ah

Un soupir se dessine sur le Porto-Vecchio
Immortelle, assassine te voilà sortie des flots
Je ne pleure pas, je nage dans le murmure des vagues, ah
J’ai oublié ton nom et ton corps sur la plage, ah, ah, ah

Tu m’as lâché la main sur le Porto-Vecchio
Je souris au venin qui me brûlait le dos
Je ne pleure pas, je nage dans l’océan de flamme, ah
Pour oublier ton corps, pour mieux tourner la page, ah, ah

Je reviendrai demain sur le Porto-Vecchio
Pour…